Heilige Oorlog
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


L'Homme est pris dans une guerre qu'il ne peut voir, qu'il ne pourrait comprendre, et à laquelle il ne saurait prendre part.
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

 

 Sophie Durocher

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Sophie Durocher
Avocate mondialement reconnue
Sophie Durocher


Messages : 253
Date d'inscription : 09/05/2010
Age : 33

Feuille de personnage
Pouvoirs:

Sophie Durocher Empty
MessageSujet: Sophie Durocher   Sophie Durocher Icon_minitimeVen 14 Mai - 20:54

Now everyone's asleep
I am awake and I am dreaming
I believe it's time for the rude awakening.

SOPHIE DUROCHER

Âge : 44 ans depuis cinq ans.
Date de naissance: 20 Mai 1961
Nationalité : Française.
Sexe : F.
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle.
Race : Humaine.
Statut civil : Mariée.
Situation professionnelle : Avocate.


Sophie Durocher 34e7ya9 Sophie Durocher 5ev2vt Sophie Durocher Zohkwg Sophie Durocher 24uxqc6 Sophie Durocher 1t8zed Sophie Durocher 28gxl44


Sophie Durocher 2j78ep

Armes: Une bombonne de poivre de Cayenne ainsi qu’un pocket gun. (Smith & Wesson, The Centennial)

Description physique : Sophie Durocher est une salope. C’est ce que diront toutes les femmes qui croisent sa route. En effet, sur le bord de la cinquantaine, cette femme reconnue mondialement n’a rien à envier à personne sur le plan physique. Elle a un visage encore parfait malgré les nombreux soucis. Il y a ces petites rides malicieuses aux coins de ses yeux que les années de dépression et de culpabilité ne lui ont jamais fait perdre. Ni même les opérations chirurgicales. Car cette beauté sublime, presque surnaturelle, n’est qu’à demi naturelle. Entendons-nous. Le charme de cette femme est indéniable. Belle grande blonde aux yeux gris-bleus, élégante et racée qui ne fait pas son âge. Si elle n’était pas passée sur le billard, peut-être aurait-elle le ventre un peu moins ferme. Peut-être son visage possèderait-il quelques plis soucieux au front et sur le pourtour de la bouche. Peut-être que, si elle ne teignait pas ses cheveux, on verrait les cheveux gris qu’elle se fait tous les jours à force de se ronger les sangs. Sophie Durocher n’aurait pas eu besoin de recourir à ces artifices pour rester belle. Elle est assez grande, 1 mètre 74, et porte toujours des escarpins qui la grandissent d’un pouce. Ses tailleurs, moulants, mettent sa silhouette en valeur, mais on dirait qu’elle ne le voit pas. Elle ne porte pas cela pour plaire : elle estime que ces tenues vont avec sa carrière dans le Droit.

Note : Elle possède un tatouage dans le bas du dos, qui date de son adolescence. Elle le déteste pour ce qu’il lui rappelle, mais n’a ni le temps ni le courage d’aller se le faire enlever. ICI Il s’agit d’un oiseau, très coloré, style vintage, avec une rose à l’arrière. Zoom.

Description psychologique : Elle ne cherche pas les compliments. D’ailleurs, de mémoire d’homme, jamais Sophie n’a reçu un compliment sur son allure en souriant, en hochant la tête ou en disant merci. Elle réagit à la flatterie par un regard hautain, un silence évocateur, une gifle percutante ou une plainte sournoise pour harcèlement sexuel. Elle a beaucoup d’ennemis dans le milieu; des rivaux, des gens qu’elle a fait envoyer en prison, ou les familles des victimes dont elle a sauvé l’agresseur. Elle maîtrise sa peur, traînant avec elle, en permanence, une bombonne de poivre de Cayenne et un revolver. Pour ceux qui travaillent avec elle, Sophie Durocher a 44 ans depuis cinq ans. Ne posez pas de question à propos de son âge, ça vaut mieux. Très vive, elle réagit toujours au quart de tour, elle trouve toujours le mot qu’il faut pour mettre fin à un problème, ou en causer un nouveau. Ses collègues lui vouent le même respect qu’à un patron, même si techniquement elle est censée être leur égale. En fait, dans la boîte, son opinion est tellement importante qu’elle prend souvent les devants pour ce qui de la gestion des dossiers. Elle a même son mot à dire sur « qui doit être viré ». Elle ne supporte pas la paresse, l’excentricité, ni les lâches. Elle ne croit pas au surnaturel, bien qu’elle ait vu elle-même certaine scène incroyable. Obsédée du boulot, il lui arrive de passer 48 heures en ligne dans son bureau. Il faut dire qu’elle déteste rentrer chez elle et affronter les effronteries de son mari. Toutefois, personne ne se doute de la crise de son couple car, pour elle et son époux, les apparences comptent énormément. En fait, les gens croient que sa mauvaise humeur est du à un SPM constant, et ce bien qu’elle soit ménopausée depuis plus de vingt ans.

Histoire/Biographie : En regardant cette femme, aujourd’hui, il est difficile d’imaginer pour elle autre chose qu’une enfance rangée, une vie parfaitement planifiée d’avance. On regarde Sophie Durocher et on croit aussitôt que cette femme a tout réussi. Il vaut la peine, pourtant, de s’attarder au parcours de cette sommité mondiale.

Enfant, Sophie Durocher était une jeune fille très vive, intéressée à tout. Elle possédait une curiosité infinie, savait se faire des amis très facilement et avait été nommé présidente du conseil des élèves de son école. Vous direz qu’il n’y a là rien d’étonnant, que cette enfant ressemble à la Sophie d’aujourd’hui. Oui. Et pourtant, c’est entre l’enfance et l’âge adulte que les choses ont vacillé.

À l’adolescence, ses parents ont été forcés de déménager, pour l’emploi de son père. Elle quittait tous ses amis et atterrissait dans un nouveau milieu, un peu plus huppé. Mais la famille de Sophie Durocher n’était pas huppée. Ses vêtements, ne portant pas d’étiquettes de marque, ses manières d’enfant d’école publique passèrent mal la transition en école privée. Elle fut rejetée dès le départ par ses camarades, subit les railleries des garçons et des filles. Ça ne plu pas du tout à la jeune fille. Pour ne rien aider, elle était déjà beaucoup plus formée que les autres adolescentes de son âge et paraissait plus vieille. À treize ans, elle s’acoquina avec une bande de jeunes skinheads. Ils ne faisaient rien de bien mal. Des conneries d’adolescents. Ils étaient plus vieux qu’elle, mais ne connaissaient pas son âge, à elle. Le style de Sophie devint un peu plus agressif, elle décida que plutôt que de se cacher dans des vêtements trop amples, elle pourrait bien les montrer, ces formes gênantes. Elle commença à avoir la cote auprès des garçons, mais sa relation avec les filles de son école s’en trouva encore plus réduite et désagréable. Mais elle était devenue bagarreuse et ne se laissait pas faire. Elle fut collée chez elle à plusieurs reprises. Elle fréquentait des gens beaucoup plus vieux qu’elle. À 14 ans, elle se faisait inviter dans des fêtes d’universitaires et dansait toute la nuit avec des garçons beaucoup plus âgés qu’elle. Un soir où elle fit le mur pour aller rejoindre un garçon dont elle était amoureuse, celui-ci l’emmena à une fête de son université. Elle but, se donna à lui. C’était la première fois. Le lendemain, à son réveil, elle était seule dans un lit inconnu, à côté d’un autre couple enlacé. Frustrée, elle abandonna ces soirées de saoulerie. Elle continua longtemps de fréquenter ses amis skinheads mais évitait de s’intéresser de trop près aux garçons. Eux par contre, s’intéressaient beaucoup à elle. Elle leur donnait ce qu’ils voulaient, plus pour avoir la paix que pour son plaisir. Si on ne voyait pas de changement majeur dans son comportement et ses fréquentations, on en vit toutefois sur ses notes. L’adolescente s’était reprise en main. Elle avait des projets d’avenir. Elle voulait devenir avocate, et elle s’accrocherait à son rêve. Peu à peu, elle délaissa ses amis, se concentra corps et âme sur ses études et ses résultats.

Oui, donc elle a repris le droit chemin après cela ? Eh bien oui, pour un temps du moins. Mais elle connut une seconde période de désorganisation totale de ses plans. Elle est entrée à l’université en droit. Elle nourrissait des objectifs précis. Elle ferait des études sérieuses, ferait une belle carrière puis, quand son rang le lui permettrait en toute sécurité, elle fonderait une belle grande famille. Cinq beaux enfants qui ne vivraient pas dans la misère. C’était son rêve. C’était aussi le rêve d’un jeune étudiant qu’elle rencontra alors qu’elle en était à quelques années dans son programme. Patrick Devereaux. Il était plus jeune qu’elle, moins sérieux aussi. Mais il vint à bout de ses réticences. Elle sortit avec lui et ce qui devait arriver arriva; elle tomba enceinte. Elle dut laisser ses études de côté. Patrick poursuivit les siennes et trouva un emploi payant pour entretenir sa fiancée. L’enfant vint au monde. Un amour de petit garçon. Une grossesse facile, un accouchement presque instantané. Elle décida de mettre sa carrière de côté, ainsi que ses études. Ses cinq enfants, elle les voulait maintenant qu’elle y avait goûté. Elle retomba enceinte très rapidement. Toutefois cette fois, les choses ne se passèrent pas aussi facilement. Il y eut des douleurs terribles, des fatigues immenses et l’accouchement … 46 heures terribles passées à hurler et à pousser. Pour terminer, elle n’avait pas eu le choix d’accepter la césarienne qu’on lui proposait depuis la veille. Suite à cet accouchement, elle eut besoin de beaucoup de repos. Mais elle s’en remit relativement vite. L’enfant était belle. Une fille cette fois. Patrick et elle étaient amoureux fous, autant d’eux-mêmes que de leur progéniture. Ils voulurent d’autres enfants. Cinq. Ils s’étaient promis d’en faire cinq. Mais ça ne fonctionna plus. Elle tomba enceinte, oui. Mais elle multiplia les fausses couches. Il y en eut même un qu’elle mena à terme, mais qui mourut dans l’incubateur. Le moral de Sophie s’affaissa. Patrick fut très présent pour elle, mais elle ne semblait pas le voir; elle était tombée en dépression. Ils allèrent consulter un expert en fécondité qui leur apprit que son système reproducteur était littéralement mort. Il ne produisait plus, ne fonctionnait plus. Atterrée, elle rentra chez elle. Quelques mois plus tard, on lui diagnostiquait une ménopause précoce. 28 ans, ménopausée. Elle n’avait pas terminé ses études, elle vivait aux crochets de son mari. Elle n’aurait jamais la famille nombreuse dont elle rêvait. Elle retourna aux études, s’acharna sur elle. Il ne lui manquait que quelques cours pour graduer. Elle les réussit avec brio. Elle entra sur le marché du travail en claquant des doigts et on commença à parler d’elle.

Qu’il se soit agit de défendre des innocents ou des criminels, Sophie Durocher ne perdit jamais un seul procès. Elle était un prodige du milieu du droit, comme si elle avait tricoté les lois civiles elle-même. Elle s’éloigna de son époux, s’éloigna de ses enfants. Depuis qu’elle avait appris la mort de ses chances d’être mère à nouveau, elle avait renié le sexe. Les avances de son mari la laissaient de marbre et, quand elle le laissait, par politesse, la posséder, elle le faisait en restant immobile, muette et distante. Elle voyait cette corvée comme inutile, dorénavant, puisqu’aucun enfant ne viendrait. Son mari finit par se lasser et commença à avoir des aventures. Elle n’était pas dupe. Elle le savait. Elle en souffre toujours, mais n’en fait pas de cas. C’est sa routine. Il lui est arrivé si souvent de rentrer à la maison et de le voir aux bras d’une autre. Les premières fois elle leur lançait des objets à la figure. Plus maintenant. Il se moquait qu’elle le voit, et elle se moquait de le voir. Il lui arrive encore de faire le petit déjeuner pour trois.

Étant deux sommités publiques, lui maire et elle avocate, ils ne peuvent pas laisser transparaître leurs soucis. Ils sortent encore ensemble, s’accompagnant dans des repas mondains. Les allusions subtiles et blessantes sont devenues leur spécialité.

Récemment, Sophie a perdu son premier procès. Un dur coup. Face à un jeune avocat, qui plus est. Un jeune homme arrogant qu’elle soupçonne même de n’avoir pas l’âge légal pour pratiquer. De retour à la maison, son mari l’attendait avec des commentaires vexants, suite à quoi elle a passé 72 heures dans son cabinet, absolument pas désireuse de rentrer chez elle pour être humiliée.

Relations : Patrick Devereaux, époux. Ils se détestent cordialement mais ne divorcent pas. Aucun d’eux n’étant prêt à être celui qui dira officiellement adieu à tout ce qu’ils ont vécu.
Raphael Devereaux, fils. Il la traite avec arrogance quand il la voit, fidèle portrait de son père. Il a pris son parti dans la guerre familiale. Il ne vit plus à la maison et elle le voit très peu.
Souny Durocher, fille. Sophie ne comprend pas pourquoi elle a choisi de garder son nom à elle après qu’elle l’eut mise à la porte alors qu’elle était à peine âgée de seize ans.

Prénom/pseudo : Armie
Âge : 19 ans
Comment avez-vous connu le forum ? : Par moi.
Commentaires : Sophie elle rock !
Revenir en haut Aller en bas
http://www.sadismus.keuf.net
Souny Durocher

Souny Durocher


Messages : 226
Date d'inscription : 09/05/2010

Feuille de personnage
Pouvoirs:

Sophie Durocher Empty
MessageSujet: Re: Sophie Durocher   Sophie Durocher Icon_minitimeDim 16 Mai - 19:04

Sophiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie, the return.

xD

Validée Wink
Revenir en haut Aller en bas
 
Sophie Durocher
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Souny Durocher
» Échec [PV Sophie]
» Doux hybris [Pv Sophie]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Heilige Oorlog :: Before it begins :: Personnages :: Les acceptés :: Humains-
Sauter vers: